Eugène de Mazenod, un saint qui n’appartient pas aux Oblats.
Deux exemples :
1. A l’occasion du bicentenaire de l’Académie d’Aix-en-Provence, depuis début avril, le cours Mirabeau est orné de kakémonos à l’effigie de ses académiciens.
Nous retrouvons des noms illustre comme : Frédéric MISTRAL, Marcel PAGNOL… et à la surprise d’un certain nombre Eugène de MAZENOD.
Le kakémono résume sa vie en quelques lignes : «Evêque des Marseille – Fondateur des Oblats de Marie Immaculée - D’une famille de magistrat émigrée durant la Révolution, il reçoit les ordres à son retour et se consacre ‘au ministère des petits et des pauvres’. Il fonde à Aix les Oblats de Marie Immaculée et sera nommé évêque de Marseille en 1837. L’Eglise le canonise en 1995. »
L’Académie à également édité un livre : « deux siècles d’Aix-en-Provence – 1808 – 2008 ».
Sous la proposition du marquis de Méjanes et d’autres, une société littéraire vit le jour en 1777. A peine née, elle disparaît, emportée par la Révolution Française. L’idée est reprise en 1808, et le 11 février, naît la Société des sciences et des lettres, de l’agriculture et des Arts.
Eugène de Mazenod est cité, en 1812, comme « nouveau venu » pour son soutien au combat de mère Pinczon du Sel (fondatrice des Srs de St Thomas de Villeneuve).
L’année 1826 est consacré à la création des Missionnaires Oblats de Marie Immaculée : «… Ce petit rameau, planté au cœur de l’ancienne capitale de la Provence, […] les intuitions pastorales d’Eugène de Mazenod, […]inspirent encore largement aujourd’hui une communauté de quelque quatre mille membres, dispersées dans plus de soixante pays : l’Asie et l’Afrique ayant pris aujourd’hui le relais de l’Europe et de l’Amérique du Nord. […] Ainsi grâce aux Oblats, Aix participe pleinement au renouveau catholique français du XIXe siècle, et demeure aujourd’hui un acteur de l’élan missionnaire mondial contemporain.»
Mais ce livre nous entraîne, année par année, dans la passionnante aventure d’une cité réfractaire à l’émergence industrielle, mais jalouse de son identité universitaire et judiciaire ; elle peut être considérée, au début du XXIe siècle, comme une métropole culturelle de renommée mondiale.
2. A Fuveau, ville dont fut natif le Père Suzanne (1799-1829).
Eugène de Mazenod passionne les foules. Déjà en 2006, dans le cadre de la mission paroissiale, le Cercle Saint Michel avait présenté un spectacle sur Eugène de Mazenod.
A la demande du Père ALIGER, Vicaire Générale d’Aix-en-Provence, le spectacle fut redonné ce samedi 2 mai.
Toute la cité de Fuveau était mise à contribution ; pas moins de 52 figurants ont animé le parc de la Chapelle Saint Michel pour retracer dans un son et lumière la vie de Saint Eugène de Mazenod. M. Christophe VERA, dans une recherche historique, a véritablement perçu le charisme de notre fondateur pour le traduire dans une représentation théâtrale qui mériterait d’être portée sur le plateau du nouveau théâtre de Provence à Aix-en-Provence.
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Deux exemples :
1. A l’occasion du bicentenaire de l’Académie d’Aix-en-Provence, depuis début avril, le cours Mirabeau est orné de kakémonos à l’effigie de ses académiciens.
Nous retrouvons des noms illustre comme : Frédéric MISTRAL, Marcel PAGNOL… et à la surprise d’un certain nombre Eugène de MAZENOD.
Le kakémono résume sa vie en quelques lignes : «Evêque des Marseille – Fondateur des Oblats de Marie Immaculée - D’une famille de magistrat émigrée durant la Révolution, il reçoit les ordres à son retour et se consacre ‘au ministère des petits et des pauvres’. Il fonde à Aix les Oblats de Marie Immaculée et sera nommé évêque de Marseille en 1837. L’Eglise le canonise en 1995. »
L’Académie à également édité un livre : « deux siècles d’Aix-en-Provence – 1808 – 2008 ».
Sous la proposition du marquis de Méjanes et d’autres, une société littéraire vit le jour en 1777. A peine née, elle disparaît, emportée par la Révolution Française. L’idée est reprise en 1808, et le 11 février, naît la Société des sciences et des lettres, de l’agriculture et des Arts.
Eugène de Mazenod est cité, en 1812, comme « nouveau venu » pour son soutien au combat de mère Pinczon du Sel (fondatrice des Srs de St Thomas de Villeneuve).
L’année 1826 est consacré à la création des Missionnaires Oblats de Marie Immaculée : «… Ce petit rameau, planté au cœur de l’ancienne capitale de la Provence, […] les intuitions pastorales d’Eugène de Mazenod, […]inspirent encore largement aujourd’hui une communauté de quelque quatre mille membres, dispersées dans plus de soixante pays : l’Asie et l’Afrique ayant pris aujourd’hui le relais de l’Europe et de l’Amérique du Nord. […] Ainsi grâce aux Oblats, Aix participe pleinement au renouveau catholique français du XIXe siècle, et demeure aujourd’hui un acteur de l’élan missionnaire mondial contemporain.»
Mais ce livre nous entraîne, année par année, dans la passionnante aventure d’une cité réfractaire à l’émergence industrielle, mais jalouse de son identité universitaire et judiciaire ; elle peut être considérée, au début du XXIe siècle, comme une métropole culturelle de renommée mondiale.
2. A Fuveau, ville dont fut natif le Père Suzanne (1799-1829).
Eugène de Mazenod passionne les foules. Déjà en 2006, dans le cadre de la mission paroissiale, le Cercle Saint Michel avait présenté un spectacle sur Eugène de Mazenod.
A la demande du Père ALIGER, Vicaire Générale d’Aix-en-Provence, le spectacle fut redonné ce samedi 2 mai.
Toute la cité de Fuveau était mise à contribution ; pas moins de 52 figurants ont animé le parc de la Chapelle Saint Michel pour retracer dans un son et lumière la vie de Saint Eugène de Mazenod. M. Christophe VERA, dans une recherche historique, a véritablement perçu le charisme de notre fondateur pour le traduire dans une représentation théâtrale qui mériterait d’être portée sur le plateau du nouveau théâtre de Provence à Aix-en-Provence.
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